Face à la réduction des financements publics, Mines Saint-Étienne amorce une transformation de son modèle économique vers un financement plus équilibré public-privé. L’école, qui compte 2 500 élèves, vise à inverser progressivement la part des ressources propres et publiques, tout en maintenant son statut public, et développe de nouvelles formations et partenariats pour soutenir l’industrie du futur. (05/09/2025 – EducPros)

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La réforme de la Validation des acquis de l’expérience (VAE), pilotée par les ministères du Travail et de l’Éducation, vise à simplifier et accélérer l’accès à la certification. La plateforme nationale « France VAE » centralise désormais les démarches, avec des délais réduits, un accompagnement renforcé et un objectif de quatre sessions par an pour chaque certification. Depuis janvier 2025, plus de 18 000 candidats se sont déjà engagés dans un parcours via ce dispositif rénové. (05/09/2025 – Apecita)

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Selon l’Insee, les petites et moyennes entreprises ont supporté en 2022 un taux implicite d’impôt sur les sociétés de 21,4 %, contre 17,8 % pour les ETI et 14,3 % pour les grandes entreprises. En cause : une fiscalité complexe, mieux optimisée par les grands groupes. Malgré la baisse progressive du taux officiel à 25 %, les PME restent les moins bénéficiaires des allègements fiscaux. (05/09/2025 – France Info/AFP)

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Lors de son assemblée générale à Marseille (27-28 août 2025), l’association France Universités a alerté sur les défis financiers et sociétaux auxquels font face les établissements. Le ministre de l’Enseignement supérieur, Philippe Baptiste, présent au Pharo, a tenté de rassurer les présidents, inquiets pour la pérennité du modèle universitaire. L’enjeu : garantir des moyens suffisants dans un contexte de crise budgétaire et de pressions croissantes sur l’enseignement supérieur. (05/09/2025 – Gomet’)

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Une étude du Céreq (Bref n°474-475, septembre 2025) analyse le recours par les entreprises aux dotations « volontaires » sur le CPF de leurs salariés. Depuis 2020, seules 2,3 % des structures de plus de 10 salariés y ont eu recours. Si le dispositif peut constituer un levier stratégique de gestion des compétences et de co-construction des parcours professionnels, il reste freiné par un déficit d’information, des contraintes budgétaires et organisationnelles. L’étude identifie toutefois des leviers d’action : meilleure communication, implication des représentants du personnel et coconstruction employeur-salarié. (05/09/2025 – Céreq)

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