L’association France Invest, qui fédère les professionnels du capital-investissement, annonce l’arrivée d’un nouveau directeur général, succédant à Alexis Dupont, en fonction depuis juin 2019. Cette nomination marque une étape importante pour l’organisation, acteur clé du financement des entreprises en croissance. (La Tribune, 24/09/2025)

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L’Alliance pour la santé mentale, collectif créé en janvier 2024, lance une charte destinée à améliorer la santé mentale des salariés. Ouverte à la signature des entreprises dès le 20 novembre, elle engage celles-ci à mettre en place, dans un délai de trois ans, des actions de sensibilisation, de prévention et d’accompagnement. Objectif : libérer la parole, améliorer les conditions de travail et soutenir les collaborateurs en situation de fragilité psychique. Soutenue par le gouvernement dans le cadre de la grande cause nationale 2025, cette démarche espère rassembler une centaine d’entreprises d’ici la fin de l’année. (Carenews, 24/09/2025)

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Comprendre les tueurs en série, déterminer les causes de leur passage à l’acte… De plus en plus d’étudiants choisissent aujourd’hui de se spécialiser en criminologie, même si le métier de criminologue n’est pas officiellement reconnu en France. Les masters intégrant cette discipline, rattachés au droit pénal ou à la psychologie, connaissent un succès fulgurant : à Bordeaux, 2 200 candidatures pour seulement 25 places ont été enregistrées. Si les séries télévisées nourrissent l’imaginaire, la réalité reste plus nuancée : la criminologie apporte surtout des clés de compréhension humaines et scientifiques aux futurs magistrats, avocats ou officiers de police. Elle séduit une nouvelle génération désireuse d’« enlever ses œillères » pour analyser les causes, les mécanismes et la prévention du crime. (Le Monde, 24/09/2025)

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Dans une tribune publiée dans Le Monde, Jean-Luc Dubois-Randé, président de l’université Paris-Est-Créteil, appelle à replacer l’université au cœur de la société française. Face à la précarité étudiante, à la complexité du système d’enseignement supérieur et au décrochage du pays dans la compétition internationale, il plaide pour que l’université redevienne la voie principale d’accès à un enseignement supérieur de qualité. Cela passe par le développement d’antennes universitaires de proximité, un renforcement des liens avec le secondaire et une reconnaissance accrue du rôle de la recherche et de la formation professionnelle. L’université, affirme-t-il, n’est pas une charge mais un investissement majeur, générant retombées économiques, innovations, attractivité territoriale et vie culturelle. La remettre « au centre du village », c’est garantir l’égalité des chances et investir dans l’avenir collectif. (Le Monde, 24/09/2025)

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Un rapport d’évaluation du dispositif « Territoires zéro chômeur de longue durée », publié le 23 septembre, met en lumière son coût élevé pour les finances publiques tout en soulignant son rôle clé dans la réinsertion de personnes très éloignées de l’emploi. Déployé depuis 2016 dans des communes volontaires via des entreprises à but d’emploi (EBE), le programme a permis d’embaucher environ 4 000 personnes, majoritairement des femmes, souvent allocataires du RSA ou aidantes familiales. Le coût net pour l’État est estimé entre 11 300 et 13 700 € par emploi et par an, en plus d’une dotation d’amorçage. Si l’expérimentation reste fragile financièrement et n’ouvre guère sur l’emploi classique, le comité scientifique recommande de la poursuivre, en la recentrant comme solution de « dernier recours » pour les publics les plus exclus du marché du travail. (La Croix, 24/09/2025)

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